Pour les exercices, pas de toiles sur châssis, je recycle de vieux calendriers cartonnés donnés par les banques chaque année. Je colle du papier journal, un coup de Gesso et voilà un support idéal.
Pour les exercices, pas de toiles sur châssis, je recycle de vieux calendriers cartonnés donnés par les banques chaque année. Je colle du papier journal, un coup de Gesso et voilà un support idéal.
Une vieille comptine du XIXème siècle.
C’est ainsi que j’imaginais la famille impériale quand j’étais enfant. L’empereur vient me « serrer la pince », quelle pince? Le facteur de notre village, amputé d’une main, portait un crochet, un énorme crochet en métal qui m’effrayait et me fascinait. Quand il fouillait dans sa sacoche pour en sortir notre courrier, cachée derrière ma mère, je ne le quittais pas des yeux. Dans la chanson, mieux qu’un crochet, une pince… encore mon imaginaire…
Encore une vieille chanson traditionnelle française. J’ai fait des recherches sur le net pour en connaître l’origine…en vain.
« Mon petit oiseau a pris sa volée… »
Quand j’étais enfant, j’ai longtemps cru que le pauvre oiseau avait pris une « raclée ». Faut-il laisser l’imaginaire des enfants s’égarer, quitte à les laisser imaginer le pire, ou faut-il tout expliquer? Finalement, je ne demandais pas d’explications puisque je croyais avoir compris.
La 2ème comptine d’un futur nouveau recueil…j’ai encore du pain sur la planche. Je dois avouer que le crocodile ne m’inspirait guère, un physique ingrat qui ne s’allie pas facilement à mon style animalier.
Bientôt un 2ème tome pour mes comptines. Mes premiers fans ont vieilli (6 et 4 ans) mais ça continue avec les plus jeunes et ceux à venir…